Bienvenue au bal des poètes !

Pour le bal des poètes, un grand tapis rouge flottais devant l'entré de la bibliothèque. S’était l'un des fameux tapis volant de la famille royal. La princesse Christaline Zénaïde fut la première des trois à arriver. Elle salua de la main, toute ses loyaux sujet, en affichant sont plus beau sourire. Celle-ci s'était fait faire, une magnifique robe turquoise, pour l'occasion. Elle prit place sur le tapis et celui-ci l’apporta jusqu’a son trône en or massif, qui ce trouvait aux milieux des tables ressèment installer pour la fête.
La bonne vieille carpette, retourna à l'extérieur. Elle devait transporter toute les familles de ce royaumes, jusqu’as la salle des livres anciens. Cependant ceux-ci devait attendre l'arriver de la reine Éva et de la princesse Athanasia, avant de pouvoir prendre places.

Des grosses chaises en bois, recouvert d’un coussin blanc moelleux, encerclait son majestueux fauteuil doré.
Un gigantesque piano rustique noir, trônait aux milieux. Juste vis à vis des trois sièges royaux. Comme tous sont égale a ses yeux et qu’elle ne privilège pas plus les noble, que les riches. Chacun devra s’assirent à la place qui restera de libre.

Sa sœur d’une gentillesse incroyable, venait tout juste d’arriver, en offrent sa bienveillance au orphelin.
C’elle si s’empressa de lui demander comment elle allait.

-Je vais bien chère sœur, merci et toi comment va tu ? 

-J’espère moi aussi que tout ira pour le mieux. Le grand pianiste interna-Zénaïdien n’a pas donné encore acte de présence. J’ai bien peur qu’il faudra improviser.

Elle était prise d'une colère étourdissante. Comment avait-il pue lui faire ca. Il lui avait tellement -répéter, qu’il voulait jouer la pièce musical, qu’il avait inventé juste pour Elle.

En même temps, Elle s’inquiétait pour le pauvre Simon. S’était en première vue un excellent musicien mais, s’était aussi sont meilleur ami et sont grand amour.
Celui-ci avait pour habitude, de lui montrer quelque note au piano. IL venait à tous les soirs, vers les 19 heures. Sella ne la dérangeais pas car, comme ca, elle pouvait rester seul avec lui.

Il faut le dire, Simon à un charme fou, en plus d’avoir De grand bras musclé, une courte chevelure noir entremêlé et de grands yeux marron. Il possède aussi un humour et un romantisme juste a lui. Il lui avait dit tard hier soir, qu’il avait l’intention de demander sa main, devant toute les invitées du bal. Elle s’était mise à pleurer des larmes de joies, toute en sautant dans ses bras. Ensuite se souvient-elle, il l’avait faite tournailler dans les aires. S’Était d’un romantique, comme ont le lit dans les livres.
Ils avaient passé le reste de la soirée, à regarder les millions d’étoiles, qui dansait dans le ciel noir, de la nuit.

Elle nus pas besoin de plus, pour ce mettre à trembler, la seul idée qu’il s’était enfui loin d’elle, par peur de l’épouser, fut un choque en soi. Elle l’aimait tellement.
Dans un bref instant, un garde apparue dans le portique de la salle. Il avait dans ses mains, une lettre t’acheter de sang. Il ce plaça a ses côté et demanda la permission, de lire le contenue, du papier noirci par le sang sécher.

Elle fit un signe, d’approbation de la tête et il commença la lecture.

- Chère Christallinne, je suis parti dans la colline de la peur. À la recherche d’une pierre très rare, qui porte en elle, l’éclat de toutes les couleurs de la vie. Celle si, ce trouve dans une grotte, au sommet de la plus haute des montagnes. Je suis partie a sa recherche, pour pouvoir fabriquer de ma main, l’annaux qui nous unira pour toujours. Ton tendre et aimer Simon.

Les larmes lui coulèrent de plus belle. Elle les essuya dans un geste rapide. Sont cœur se remplis d’une joie immense, a cette redondance d’amour et en même temps d’une crainte, car l‘état de se parchemin était misérable. Pourquoi, a t-il du sang sur ce papier ? Pensa telle.

-Garde ou est-ce que vous avez trouvé ca ?di-telle très désemparer.

- À vrai dire princesse, il prit une petite pause - qui a elle, lui s’ambla longue- et il enchaina.

- Nous avons effectué notre ronde, dans le sud de la ville et nous avons vue ...un homme - près de la maison du postier- qui semblais avoir besoin d’aide, en s’approchant, ont n’a remarqué, que s’était un vampire. Il portait un habit noir et un chapeau rouge. Je crois, oui je croîs qu’il avait aussi, un petit foulard blanc, sur son bras gauche.

- Un rebelle, s’exclama telle en hurlant presque. Toutes les membres du clan des rebelles en ont un !

Le pauvre militaire, commençais a trembler, comme une feuille, qui ce fait bercer par le vent d’automne.

- je t’en prit, poursuit. Exigea telle.

- Ensuite dit-il, moi et deux autres gardiens, avons avancé dans sa direction, le sol était mouiller et a causse du carrelage, en pierre tremper, un claquement de botte dans la flaque d‘eau, le fit sursaute. La lumière du Lampadaire illumina son visage, qui reflétait le méprit.
Dans une vitesse comparable, a celle de la lumière. Il disparue sous nos yeux. Ont étaient affoler de voir, ce qui avait laissé derrière lui.


-Qu’est-ce qu’il a laissé derrière lui, dit moi ?

- Un cadavre princesse ! Un ... cad...avre. !!

Elle fixa, le petit jeune homme, qui avait à penne la mi-vingtaine. Elle avait de la peine à croire, ce qu’elle venait d’apprendre. Était-ce possible, que ce clan ennemi, pouvait venir ici et tuer un citoyen de ce royaume. Sen était trop, elle comprit qu’elle devra parler a sa mère et a sa sœur , qu’une probable guerre ce prépare de la par de leur ennemis.

Elle ce souvenue, qu’il n’avait pas décrit la personne retrouvée morte. Elle demanda donc, des détailles sur l’identité de cette personne.

- Avait vous trouver, qui était la personne retrouver sans vie, sur le sol de la ruelle sud ?

- Oui princesse, j’ai le regret de vous annoncez, que l’homme que l’ont na retrouvé mort, est le même que celui qui détenait cette lettre. Son nom est Sir Simon Degrantours

Elle vue en un instant, toute ses moment passé avec lui et dans un bref soupir de tristesse, elle tomba sur le sol, évanouis par l’épuisement moral, des informations horribles, qu’elle venait d’apprendre.

Christalinne, ce réveilla sur le canapé rouge, dans la salle adjacente, d’ou la réception était donner.
Celle-ci, encore dans les vapes, s’assit avec misère en s’agrippant à l’coudière du divan. Fixant l’horizon, elle regardait le bleu de la carpette poussiéreuse.
Comment ce pouvait-il, que tout d’un coup tout ses rêves, tout sont bonheur, pouvait lui semblais si loin ?
Comment pouvait-il existait pareille souffrance ?
Tout ca, lui déchirait le cœur en mille morceaux. Elle ne pouvait plus penser à autre chose. Elle en voulait tellement à celui, qui lui avait faite ça. Celui qui lui avait arraché l’homme de ca vie. Celui qui avait faite disparaitre en quelque seconde, toute la joie qui bouillait aux plus profond de sont cœur.
Elle ne voulait plus être a cette réceptions, Ou tous serait dans des aire de réjouissances, voulant danser et rire aux sont de la musique. Celle-là même, qui l’avait rapproché de sont tendre amour perdu.
Elle regarda sa sœur et lui demanda de L’excuser pour quelque minutes, juste le temps de remette de l’ordre dans sa tête.

- chère sœur, pardonne moi ce manque de t’acte mais, je vais disposer de ma personne quelque instant. Je dois vraiment me retrouver seul, pour penser.

Celle-ci, ce levas tout doucement en direction de la porte, qui menait à un escalier dans l’allée de gauche, caché par une grande porte de bois vernis. À l’étage, du haut, un corridor apparu devant elle. En avançant. Elle aperçue une grande porte en bois de chêne entre-ouverte, qui laissa entrevoir une magnifique chambre douillette. Christalinne rentras dans celle si d’un pas lourd et fatiguer. Elle ce laissa tomber délicatement sur le grand lit, en fer forger. Celle-ci se positionna en petite boulle, comme le fond les fétus, dans le ventre de l’heure mère. Pour ensuite, s’enrouiller dans la douce couverte de soi émeraude. Enfin elle laissa couler, toutes les larmes que sont petit corps frêle pouvait contenir.

#Si vous vous demander, qu’est ce qu’un lit fait dans la bibliothèque et bien ces que le défunt roi, le père de christalinne et de Athanasia, L’avait exigé pendant son règne. Car celui-ci, était un passionner de lecture et il pouvait lire pendant des heures, jusqu’au chant du coq, Donc au lieu de faire trente minutes de route à cheval, il dormait sur place, entouré de ses précieux livres. Même, que parfois il s’endormait, assis dans sont vieux sofa de feuille de *lirote*, que ses amie les elfes de la lumière, lui avait fabriqué.#


*Lirote : Feuille venant de L’arbre anciens et sacrée. D’où-même, la première fée ce fit offrir sa demeure, par le dieu de l’univers.*(Vous trouverez tous les informations de cette arbre dans la section race)

Becker se faufila discrètement à l'intérieur de l'immense pièce, évitant de se faire remarquer malgré sa respiration saccadée. Il avait du courir vite pour échapper aux membres de la paroisse, présents à la messe qui venait de se produire une heure plutôt. Il repensait encore à tout ce qui s'était passé avec amusement...

Flash-Back

Becker était entré dans l'église, sans trop savoir quoi faire. Il s'ennuyait, alors toute occupation lui convenait. Il avait opté pour regarder une messe, visiblement pour la déesse de la lumière... Note que ça ne l'intéressait pas plus que ça, déesse de la lumière ou des ténèbres... Chacun vit sa vie à sa manière, et puis c'est tout. On est libre de croire en ces divinités ou non, mais lui, il considérerait que ça ne le concernait pas plus que ça. Toujours est-il qu'il avait sous-estimé l'effet somniférique des discours de curé.Il s'ennuyait encore plus, maintenant. Ou le discours était purement barbant, ou les fidèles priaient en marmonnant avec une tête de dépressif. L'ange sombre sentait qu'il allait lui aussi sombrer dans la dépression, si ça continuait ainsi.


Ce fut une personne qui lui redonna espoir. Jef, un ami de longue date, qui servait de pianiste... enfin, d'"orguiste", à cette cérémonie. Il le regarda et lui fit un clin d'oeil pour dire bonjour, auquel Becker répondit par un petit signe de la main. Il regarda un peu partout dans l'église, à la recherche d'une occupation digne d'intérêt... et tomba sur ce qu'il voulait. La loge du pape était parfaitement libre d'accès. Une erreur de distraction, sans doute. Mais un erreur qui allait lui servir.

Il retourna son regard vers Jef, fit un signe de la croix suivit d'une note de musique. Le pianiste le regarda, et répondit par un sourire et un pouce levé. Becker se leva et se dirigea discrètement vers la loge. Il y entra sans que personne ne le remarque, et chercha un habit de prêtre. Il en trouva un, un peu petit pour lui, mais il n'allait pas faire la fine bouche, non plus. Il le mit au-dessus de ses vêtements, en plus du chapeau habituel, prit un mégaphone posé sur un rebord et se dirigea vers la scène où se trouvait la pape. Il grimpa en un instant sur la table et se mit à chanter en dansant et avec Jef qui jouait en rythme:
- Le pape a dit que l’acte d’amour
Sans être marié, est un péché
Cette nouvelle, il me faut l’annoncer
A ma paroisse, je suis curé

J’ai pris une dose de whisky
Afin de préparer mon sermon
Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit
Je me posais bien trop de questions
Au petit matin, la déesse m’est apparue
Et elle m’a donné la solution
Aussitôt, vers l’église, j’ai couru
Parler à mes fidèles sur ce ton

Mes biens chers frères,
Mes biens chères sœur,
Reprenez avec moi tous en chœur :


Pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir
Ne faites pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir
Maintenant, l’amour est devenu péché mortel
Ne provoquez pas votre Père Eternel
Pas de boogie woogie avant vos prières du soir...

Il continua à danser devant tout les paroissiens, sous le choc devant une apparition aussi... spectaculaire, tandis que le pape se reprit:
- Descendez de là tout de suite et arrêtez ce cirque, vous!

Becker ne fit pas attention et continua de plus belle, énervant profondément le pape ainsi que bon nombre de fidèles qui se mirent à lui balancer toute sortes d'objets à la figure, qu'il esquiva sans réels problèmes.
- Arrêtez-le!!

Becker décidé que ça avait suffi, remercia Jef d'un signe de tête et parcouru l'église en courant et en esquivant les projectiles lancés à sa rencontre, chipant ici et là toutes sortes d'objets religieux, puis sortit de l'église en trombe, poursuivi par tout les paroissiens et la pape, hurlant: "attrapez-le!!!" Becker courait en riant, puis s'écria:
- Statuettes! Bijoux religieux! décorations! Pots de chambre! Qui en veut? C'est gratuit!
- STOOOOOOP!!!

Becker continua son délire en se mettant à jongler avec les affaires, répétant le même cinéma. Le pape fut prit d'une énorme colère et piqua un sprint en direction de l'ange sombre. Ce dernier le regarda puis lança tout en l'air en criant:
- JOYEUX NOËL, TOUT LE MONDE!!!

Son poursuivant devint encore plus furieux et accéléra, mais se ramassa la tunique de curé que Becker avait enlevé et lui avait balancé à la figure, s'étalant ainsi de tout son long. Le chapeau retomba lui aussi doucement sur les fesses du pape, et Becker lui cria
- Lave-le! Il sent vraiment pas la rose!

Il ria un bon coup, comme un gamin, et passa la vitesse supérieure pour échapper aux gardes rameutés par le raffut. Il prit soin d'échapper à tout le monde par le biais d'une heure de détour et de slalom dans les rues dans la ville, changeant sans cesse de direction. Il finit par arriver au palais royal, où il entra pour se reposer un peu...

Fin du Flash-Back

Et il s'était retrouvé ici... Note que ça ne le dérangeait pas, il y avait un immense buffet bien décoré dont il s'occupa avec soin sous le regard outragé de certaines personnes le regardant. il tourna la tête lorsqu'il entendit quelqu'un s'effondrer, et vit une jeune femme s'évanouir, rapidement secourue par une autre jeune fille. Celle qui était tombée dans les pommes fut transportée dans un canapé, où elle se réveilla, encore à moitié sonnée, visiblement. Elle se releva et quitta la salle, sous le regard étonné de beaucoup de personnes. Becker décida de s'informer et s'approcha de la jeune femme qui s'était occupée de l'ex-évanouie, puis demanda:
- Excusez-moi, mais... Qu'est-ce qui lui est arrivé?

Adélaïde arriva à la grande bibliothèque avec pour seul compagnon sont violon rouge en bois lustrer. Elle avait l’intention dans jouer ce soir quand tout le monde danserais. Bien sure, la famille royal devra lui donna son accord.
Comme elle ne voulait pas passer inaperçu elle avait était magasiner aux petit marcher du village. Elle en avait ressortie avec une longe robe verte bouffante et un grand chapeau jaune vif.
C’est sure qu’avec cette accoutrement, je ne passerai pas inaperçue. S’avait-elle dite pour elle même.
Devant la porte la foule attendait de rentrés et comme a sont habitude celle-ci vola la vedette en jouent un morceau rythmer avec sont fameux violon. Les gents tapait dans leur main de façon a l’accompagner.
Sur le coin de l’œil il vue un jeune homme ce faux-filler entre tous pour entrée secrètement par la porte. Le garde ne s’aperçu en aucun cas que quelqu’un avait échapper a ca vigilance.
Ne ce préoccupent pas plus longtemps de cette incident elle continua de jouer toute en tapent du pied dans un aire de fête.

Christalinne n'avais pas vue les heures passé, cela fessais déjà trois heures qu'elle était la, sur le lit, dans la même position fœtal et qu'elle exprimait sa douleur dans de fine goute d'eau, qui lui coulai sur le bord de ces grand yeux noisette.
Le chagrins qu’elle ressentait étaient tellement énorme, qu’elle crue que sont cœur ne pourrait plus le contenir.
Elle prit sont courage a deux main et ce leva doucement du grand lit pour aller ver le grand miroir mural, qui était dans la chambre, juste vis a vis du lit royal.

En ce regardant elle vue que ces cheveux étaient dans un état pitoyable. Quelque mèche étais entremêler ensemble et sa couronne, lui arrivait en dessous de sa nuque. Sont visage, lui, était celui des fous du roi qui venait faire rire sont défunt père dans sont jeune temps. Le noir de sont mascara avait glissé sur ses joue et son rouge a lève, était étendue sur le rebord de ses dents et de sont menton. Elle prit un mouchoir de tissu blanc, que sont chère amoureux disparue tragiquement, lui avait donné et qu'elle avait placé ce matin dans sont corsage. Elle frotta ses yeux, mais ceux si restât barbouiller.
Au même moment, un craquement qui venait de la porte a demis ouverte, la fit sursauter. En se retournant vers elle, elle aperçu une ombre sur le mur du couloire. Un frison parcourue sont corps et elle ne pue sortir de sa bouche qu'un simple '' Qui est la ?''
Ce fut tellement discret qu'elle même eu de la difficulté a ce comprendre. Elle enchaina tout de suite dans un ton un peu plus fort. '' Qui est La, Montrez vous ?''

A ce moment la, un courant d'aire parcourue la chambre et les trois chandelles qui était sur le bureau de travaille s'éteindit.
Envahis par la peur, Christalinne figea, elle était incapable de bouger. Sa tête lui disait,'' Mais allez bouge, vas toute suite allumer les bougis !'' Et sont corps lui, refusait catégoriquement de seulement lever le petit doit.
Quand, finalement elle pue ce déplacer elle ce précipita ver les chandeliers et même dans le noir elle trouva l’allumette qu'elle fit grincher rapidement. Quand la clarté revenu elle s'aperçue que le miroir affichait un mot écrit avec un rouge a lève, Ont pouvait y lire en gros, '' mon amour je t'aime et je t'aimerai toujours. ‘’ En dessous de cette phrase, une flèche pointait le sol. Elle aperçue une clé, entourée d'une chaine, sur le grand tapis argenter.
Elle la prit dans ses main et la cacha dans sont bustier. En ce dirigeant vers la porte, elle se souvenue qu'elle n'avait pas réussi à retirer le maquillage coller sur sa figure. Elle prit le couloire jusqu'a la salle de bain et pris un bol d'eau, qui était déjà remplis dans une cuve de terre cuite. Elle y trempa ensuite, le mouchoir de soie et elle ce démaquilla. Pour ces cheveux, elle prit le peigne qui trônai sur le rebord de la fenêtre en bois teinte de rouge et elle ce coiffa d'une simple toque. Elle replaça sa couronne sur le dessue de sa tête et elle sortie de la minuscule pièce.

En arrivant dans la salle de bal elle aperçu un jeune homme qui discutait avec sa sœur, en s'approchant elle entendu le jeune homme questionner sa jumelle sur le pourquoi de ces réaction .Ella s’approcha de lui et prit parole pour lui répondre.

- J'ai apprit une bien triste nouvelle qui ma complètement anéanti, le choc, ma faite perde pied.
Mais, je vous pris de ne plus me poser de question sur cette événement, merci !

Ensuite, elle salua le jeune homme et elle quitta la salle pour aller parler aux inviter, qui attendais la permission de rentrée dans la bâtisse.
Une jeune femme animait les foules, en dansant au milieu de tous.
En, arrivant sur le grand tapis rouge, tout le monde arrêta de parler et elle commença sont discourt.
- Chère concitoyens, je vous demande mille excuses, de vous avoir faite attendre aussi longtemps a l'extérieur, je vous pris de bien vouloir me pardonner. Vous pouvez, dès maintenant commencer à vous réjouir, le bal Va dès maintenant démarrer. Cependant, la reine serra en retard. .Un garde va venir vous chercher famille par famille avec notre tapis magique, veillé attendre votre tour. Quand vous aller avoir trouvé une table a votre gout, nous allons vous expliquer le fonctionnement de la soirée. Merci a tous de votre collaboration.

A la suite de se message, elle alla s'assoir sur sont trône et fit mine d'afficher un sourire. Elle fixa l'entrée de la bibliothèque avec un regard vide. Elle aperçue les familles qui commençaient à prendre place petit à petit. La seul penser qui lui venait depuis tout a leur était le mot dans le miroir et la clé trouver. Qu’est que ça veux dire tout sa ? Est-ce mon tendre Simon qui me protège du monde des morts ? Mais pourquoi cette clé ?pensa-t'elle. T'en de question et si peu de réponse. Ce dit-elle découragé. Après le bal, une enquête plus approfondit devra être mené .Il faudra surement que je trouve des personnes de confiances et qualifier pour résoudre ce mystère, Conclus a-t-elle.

Antonio n'était pas bête, il avait eu vent de ce bal des poètes et avait clairement décidé de s'y rendre coûte que coûte. Il s'était fait construire un petit masque noir pour cacher une petite partie de son visage afin de ne pas être reconnu. Il alla ensuite voir une experte dans les potions magiques. Il avait besoin d'une mixture spéciale enlevant totalement les mèches rouges de ses cheveux afin de ne pas montrer son côté démoniaque apparent. Cette vilaine femme lui demanda bien évidemment des pièces d'or en échange.

-Écoute moi bien sorcière à la noix! Tu sais pourtant à qui tu t'adresse! Tu vas m'obtenir ce que je désire et arrêter de penser avoir quoi que ce soit en échange. j'ai tout ce que je veux tu m'as bien compris!?

La vieille Ange Déchue s'exécuta effrayée, elle avait au moins essayée de pouvoir y obtenir quelque chose pour une fois. Après une longue heure d'incantation et de mélanges diverses, elle tendit une fiole contenant un liquide noir et épais avec un air mécontent. Tony renifla un coup et recula avec un air de dédain, il avait beau être un ange sombre, il n'aimait pas particulièrement les odeurs repoussantes! Cependant, cela ne l'arrêta pas et il cala d'un seul coup le contenu de la potion. Ses cheveux devinrent de plus en plus long et prirent une teinte brun foncé. Ses yeux habituellement mauvais et bleu devinrent plus doux et vert.

-Je t'avertis Tonio! Cette potion n'aura plus d'effet demain matin! Tu redeviendras exactement comme tu étais!

Se regardant dans le miroir d'un air satisfait, tellement qu'il offrit une pièce d'or à la sorcière et ajouta.

-Bien sûr, je m'en rappèlerai! Voilà une pièce d'or! Achète toi une nouvelle robe et paye toi une meilleure coiffeuse!

Il se rendit donc dans ses appartements afin de se préparer. Des vêtements de satins noirs et ajusté à son puissant corps musclé l'attendaient finement pliés sur sa commode ainsi qu'un petit masque noir finement fabriqué pour s'ajuster à son visage. Il prit tout d'abord une douche bien mérité et enfila le tout. Ses cheveux finement coiffés tombaient paresseusement sur les côtés du masque qui faisait le tour de ses yeux pour lui donner un petit air mystérieux. Quelqu'un frappa à sa porte.

-Monsieur Antonio, je vous ai procuré une copie conforme d'invitation au bal et tout est en règle! Je l'ai volé à un homme s'appelant Nicolas Preston qui venait de l'extérieur! Il est retenu prisonnier dans vos cachots alors vous n'aurez aucun problème ce soir.

Antonio ne perdit donc pas de temps et prit l'invitation avant de donner congé à son espion personnel et serviteur à l'occasion en tout genre. Il enfourcha son fidèle cheval noir et parcourut un long chemin jusqu'au château où se donnait la réception en question. À l'entrée, un garde prit son invitation et le regarda curieux.

-Pourquoi ce masque monsieur Nicolas? Ce n'est pas un bal masqué, mais bien un bal des poètes!

-Je sais bien! Je suis un très grand poète et rien n'est plus poétique qu'un masque cachant l beauté d'un homme qui veut que l'on remarque tout d'abord son coeur!

Le garde ne posa pas plus de question et s'inclina avant de l'annoncer dans la grande bibliothèque où plusieurs invités étaient déjà présent. Il se rendit donc d'un pas léger et décontracté sur le grand tapis rouge et majestueux vers un endroit où des boissons semblaient être offertes et demanda une coupe de champagne.

Dans la ruelle, le gent commençais à s'impatienter, bien qu'elle dansait déjà depuis des heures, cela ne suffisais plus a calmer la foule. Elle décida donc qu'elle prendrait une petite pause. En se retournent ver la grande porte blanche de la bibliothèque elle aperçue la princesse Cristalline, qui de loin observai ses sujets. À ses côté une petite fille d'à peine cinq ans lui tira le bout de sa manche et lui demanda gentiment si elle s'avait si sa allais être encore long. Elle allait répondre mais, la princesse la prit d'avance.
Celle-ci annonça que le bal pouvais commencer et qu'ils allais devoirs rentrés famille par famille. Quand elle eu fini, elle ce retourna ver la droite pour ce présenter a la jeune enfant mais, celle-ci avait disparue. En cherchant de bord a l’autre elle la retrouva dans les bras d'un jeune homme qui s'emblais avoir dans la trentaine. Ces cheveux d'un noir corbeau allais bien avec sont teint balsamier, il semblait venir de la race des anges de la lumière. Ce qui lui disait sa et bien ses grandes ailes blanches. Facile non ! Ensuite a ses côté un petit homme qui s'emblais avoir son âge mais qui avait la grandeur d'un enfant. UN Nain s'exclama telle assez fort pour que qu'elle que personne ce retourne ver elle. Heureusement il n'entendit rien. Pourquoi cette réaction vous demandez vous surement et bien ses la première fois qu'elle en voyait un et pour elle ce fus assez extraordinaire dans apercevoir un. Oui, oui elle en gardera un souvenir inoubliable.

Une heure plus tard.

Quand ce fut le tour de ça famille de monter sur la grande carpette dorée qui flottais sur le dessus du tapis rouge , elle tomba en essayant de mettre l'un des ces pied sur celui-ci et elle glissa sur le dos en déchirant sa belle robe noire qu'elle avait acheter hier chez un grand couturier.

Tous ce mirent a rirent aux éclat et même le garde qui dois habituellement garder un aire sérieux riais en n'en pleurer. Cela la mis dans une position inconfortable, elle qui n'avais pratiquement aucune gêne se sentis tellement désemparer qu'elle aurait voulue ce cacher dans le sol. En ce relevant tout doucement elle s'accrocha après le le gardien de la porte qui surement dépassait les un mètre et ce relevas sans ce retourner. Elle s’empressa de monter sur le tapis volant et elle fixa le reste des citoyens qui attendais leur tour. D’un simple geste de sa main elle envoya un bisou volé en fessant la révérence. Quand c’est parent la rejoignis ils partirent tous sur le dos de la vieille carpette royale.

Arriver dans la salle de réception. Des table étais émisse en cercle et aux milieux de ceux-ci un grand piano noirs très classique y étais disposer. Elle s’avait qu’elle devra en jouer, car Elle adorait le sont des touches, qui lui semblais a elle comme une s’Infonie. Cela lui rappelait qu’elle en jouait quand elle était jeune. Elle apprit vite les virtuoses des compositions de sir Simon Degrantour, pour elle c’est le plus grand pianiste que Zénaïde. Ce soir en plus elle s'était laissé dire qu'il interprétera quelque une de ces compositions. Elle lui demandera surement un autographe ce dit-elle a elle même !


A côté de ce majestueux piano trois trônes en or étais installé. Les deux princesses y étaient assissent. Elle et sa famille avaient choisi de s’assoir vis a vis de ces trône car ceux-xis étais aussi a côté du piano et donc ils auront la possibilité de pouvoir être près de Sir Simon.
Les chaises, étais tous de la m même couleur , celle de bois vernis et en plus d'être esthétique elle était rembourrer d’un coussin blanc moelleux ainsi, la royauté n’avais pas de préférence pour les plus noble de leurs royaumes et pour elle s’était toute en leurs honneurs.

Elle discuta avec les nouveau arrivant qui étrangement étais l'homme et l'enfant qu'elle avait vue plutôt a l’extérieur et ils prirent place a ses côté.
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Aélaïde j'ai su primer l'un de tes message car tu avait copier une partie d'un de mais texte surment en éditent [center]

L'arriver devant la bibliothèque.

''Non mais m'avez-vous vue tous ce monde.
Je crois que vais m'assoirai sur le sol, pour attendre car, avec le ventre que j'ais, '' bien sure du a ma grossesse'', je vais m'effondre.
EN plus avec cette chaleur suffocante ont ne respire plus.''

Elle était dune humeur massacrante, autant elle était heureuse de l'invitation de la famille royale et autant elle en était offusqué.
Sont mari en riais, que dire d'une femme enceinte a par qu'il ne faut jamais la contredire.


Assis sur le sol elle posa une main sur sa grosse bedaine et observa la porte d'entrée avec L'aide de sont autre main pour cacher le soleil qui fessait refléter ses rayon dans ses yeux .Elle attendait avec impatience un signe qui annoncerais le commencement des festivités.

''Je crois que la porte ses ouverte et que nous allons pouvoir rentrée bientôt et vivement car en plus d'être assis sur le sol dans cette chaleur je dois en plus endurer ces étrange jeune femme qui dance et chante depuis des heures, je n'en suis pue capable !''

Sont mari l'aida a ce relever avec une seule main. Elle s'accota la tête sur sont épaule et tous les deux regardaient la princesse annoncer l'ouverture de la grande fête et elle laissa échapper de sa bouche un soupire de soulagement.

Ils commençaient à marcher ver la porte d’entrée quand tous a coup la jeune femme qui divertissait les villageoise tomba d'un tapis volant.

Toute les citoyen pouffa d'un rire incluent elle et sont mari. Mais comme il sont de bravent gent, honnêtes et gentils il ce sentirent mal pour la jeune femme.

''Non mais pauvre petite ce n'est vraiment pas drôle, elle doit ce sentir terriblement gêner.''

Effectivement celle-ci eu l'aire quelque peu mal alaise mais dans la façon la plus humble et joviale de montrée qu'elle allait bien, elle fit une révérence.

A l'intérieur de la bâtisse, Un peu plus tard


-J'ai une faim de loup, croyez vous que je peux me servir dans le splendide buffet que je vois la bas. Je n'est pratiquement rien manger de la journée et je dois dire que en plus d'être enceinte, je suis d'une gourmandise incroyable et sella en tout temps.

Elle demanda cela à un homme qui avait une longue cape noire et une chevelure blanche. Elle n'avait aucune idée si s'était un valet mais elle s'avait qu'elle l'avais vue parler a la famille royale donc il devrait s'avoir quelque chose a ce sujets.

ATHA!! on voit vraiment rien de ton texte cest toute flou )
Antonio sirotait toujours son breuvage avec ennui, une princesse était passée et n'avait pas l'air dans son assiette et l'autre allant s'assoire sur un banc l'air tout aussi terrassée. Une femme enceinte entra aussi, Tony avait retenu un fou rire, c'était légèrement ridicule comment elle pouvait lui faire penser à un ogre! Tony n'avait jamais eu beaucoup de finesse avec les femmes qui ne lui plaisaient pas et il n'y pouvait pas grand chose. Il remarqua un instant l'un de ses semblable au loin, mais ne replacait pas son nom. Se devait être un nomade de son espèce, car son visage ne lui disait absolument rien. Antonio avait pourtant pris l'habitude de se renseigner sur tous et chacun! À bien l'observer il remarqua qu'il semblait connaitre les princesses. Étrange non? Que fesait un membre des anges sombres à fraterniser avec l'ennemi? C'était peut-être une technique pour les approcher.

Son attention fut alors attiré vers la Reine qui fit son entrée. Il resta droit et à l'apparence calme, mais il focalisait sur ces pensées pour ne pas qu'une des magiciennes percoivent ces mauvais plans d'espionnage et d'infiltration. L'occasion de se changer les pensées arriva donc à sa plus grande joie, la jeune femme ayant chuter sur le tapis volant était non loin de lui et assise à discuter. Elle était d'une beauté prononcé comme il les aimait et cela changait grandement ses pensées pour le moment. Il s'assit donc en face en prenant bien sure avec lui deux coupe de leur meilleur champagne. Il détailla ces magnifiques cheveux longs et noirs qui avait l'air d'être fait de soie et donnait une envie folle d'y passer la main. Ses yeux était envoûtant et sa voix adorable. Pourquoi pas? Il n'allait pas rester là à seulement boire? Il passa la coupe devant la jeune femme signifiant qu'il lui offrait galamment et prit la parole en faisant un petit sourire en coin.

-Je me nomme Nicolas jeune et belle demoiselle... Puis-je connaitre le nom que l'on vous a donné?

Becker observa la scène calmement. D'abord, une princesse anéantie temporairement par la perte d'une être cher, ensuite une elfe qui arrivait avec une robe déchirée, puis une femme enceinte qui s'adressait à lui comme à un valet, ensuite une espèce de fier narcissique pour achever par une femme à l'allure royale... Ah oui, vous ne le saviez pas: Becker ignore tout de ce qui concerne la famille royale et tout ce qui y est lié. Il avait certes vécu parmi des humains, ces derniers vivaient assez éloignés des problèmes royaux et n'en parlaient quasiment jamais, si bien que l'ange sombre n'a jamais jugé utile de s'informer à ce sujet durant ce voyage. En même temps, les différences de classes sont le cadet de ses soucis.

L'homme se tourna vers la femme enceinte et dit avec un sourire:
- Ben, je me sers bien librement sans que personne ne me le reproche, alors allez-y.

Il s'éloigna un peu et observa le jeune homme qui venait de s'adressa à la femme à l'air noble. Il était... sombre, voilà ce qu'il ressentait. Si jamais il s'agissait d'un autre ange sombre, il ferait mieux d'éviter de discuter avec lui, ça tournerait vite à la bagarre, et les problèmes s'enchaîneraient à une vitesse folle. Les anges sombres ne l'aimaient pas, et ce sentiment avait réciproque jusqu'à maintenant. Mais la question qui se pose est: Que fait un autre ange sombre ici? Il ne connaissait pas grand chose sur la royauté, mais savait que le coin était peu conseillé aux anges sombres qui respectaient les principes de leur espèce. Enfin, si cet homme était bel et bien un ange sombre, il n'en était pas sûr pour le moment.

Il se plaça dans l'ombre d'une colonne et continua à observer le jeune homme.

La reine venais tout juste de faire sont entrée, qu'un jeune homme ténébreux venus s'assoir vis à vis elle.
Il ce présenta en t'en que Nicolas et il ce renseigna sur sont nom avec une voix qui la fit frissonner.

-Je me nomme Adélaïde Ushara dit-elle tout simplement.

Ses main se mis à trembler et elle ce sentais flotter comme sur un nuage. Ca vision était devenue embrouiller et sont pou suivait celui de la musique.
Elle crut pendant un moment qu'elle connaissait déjà cet homme mais, dans l'évidence elle ne le connaissait pas.
Elle remarqua qu'il était le seul à porter un masque, ce qui la laissa perplexe.
Pourquoi cachait-il sont visage ainsi ?, avait-il eu un accident et sont visage avait subit quelque cicatrice ? Ou bien était-il un rebelle et sont but était de tuer la famille royal ce soir ?
Non sa ne ce pouvait tout simplement pas, ce dit-elle !
Elle lui posa la question pour ce rassuré.

-Mais dite moi Nicolas, pourquoi porter vous ce masque ?

-Je me nomme Adélaïde Ushara dit-elle tout simplement.

-Enchanté miss Adélaïde, Je me nomme Nicolas Delavega.

Il prit doucement la main de la jeune femme pour y déposer un baiser au dos tel un gentleman bien élevé. Il avait beau être du côté des forces des ténèbres, il ne manquait pas de classe et de charme pour autant! Elle eu une réaction bizarre de tremblement en écoutant se qui semblait être la musique, c'était donc une adepte de la musique, quel coïncidence! La jolie demoiselle semblait regarder son masque avec insistance et il se doutait déjà de la question à venir.. répondrait-il la même chose? Il détestait répéter une invention deux fois, mais se ne serait pas crédible.

-Mais dite moi Nicolas, pourquoi porter vous ce masque ?

-Un masque, chère fleure des forêts, empêche quiconque de regarder la beauté de la personne qui vous regarde afin qu'elle se décide à y voir son coeur en premier. Si vous apprenez à connaitre mon coeur je vous montrerai qui se cache derrière le masque si vous voulez.

Après tout, il ne fréquentait pas les elfes de lumière habituellement et son visage avait légèrement changer en plus de ses cheveux maintenant noir grace à la potion. Elle ne pourrait le reconnaitre à coup sure et qui sait? Cette femme pourrait se révélé d'une compagnie charmante pour la soirée. Elle dégagait tout de même un charme naturel qui lui plaisait. Ce serait aussi intéressant de rencontrer autre chose que des femmes lugubres et sadique pour une fois! Il sentit un regard sur lui, il chercha le jeune homme qu'il avait remarquer un peu plus tôt et vit une jeune femme foncant dedans de reculons et déconcentrer un instant elle se retourna et partit un peu plus loin. Il en profit pour regarder cet étrange jeune homme afin de se rappeler s'il l'avait déjà vu. Il se retourna vers la déliceuse Elfe devant lui afin de ne pas trop s'égarer de leur discussion.

Enfin prêt pour aller au bal, je me rendis a la bibliothèque. Accompagner d'un tapis volent, j'entra dans la somptueuse pièce. Déjà beaucoup de personnes y étais. je me sentais très a laise car la plus part d'entre eux me connaissais bien.

Je vis les princesse qui étais aussi belle que le jour et la reine qui rayonnait de beauté. Seul une des deux princesse n'avait pas l'air dans son assiette. Mais je ne voulais pas m'étendre sur le sujet. Je vais le savoir un jour ou l'autre , mais pour le moment, tout ce que je voulais c'étais faire la fête. je me dirigea vers la table a rafraîchissement pour prendre une petite coupe de vin rouge. Après avoir bu ma coupe d'une seul gorgé. je parti choisir ma place. Je pris donc une place pas très loin du vin car, j'avais une de c'est soif. J'avais bien envi de danser aussi mais, la musique n'étais pas vraiment ambiante pour le moment. Après quelque minutes a regarder tout les gens parler. Je me leva et alla voir un couple de dryade. Je ne les connaissais pas encore mais je voulais faire connaissance avec eux. ils me paraissaient asse gentils.

-Bonjour Madame , bonjour monsieur. Je me nome Nathanaël Lidaniur pour vous servir!
Et je fit une révérence.

-Oh je vois que vous porté un enfant.... Connaissez vous le sexe du bébé ? Si non je peu vous le dire. j'ai, comment dire, un certain donc pour sa.
Dit-je avec un sourire.

Je m'assieds donc près d'eux pour continuer la conversation, tous en demandant une autre coupe de vin au serveur.

liste de préparation, pour le bal!
10:00 AM: Demandé , aux anges de la lumière de monter une grande table blanche nappé de dentelle. FAIT

11:20 AM Demander au propriétaire de la caverne de concocter des merveilleuses boissons alcoolisées FAIT

NOTE À MOI: Toute les cocktails sont placé sur la grande table.

Ensuite ver midi, elle avait demandera à deux militaire extrêmement fort de la garde royale, d’installer une boite blanche orné de diamant, qui chevauchait une statuette énorme en granit doré, cadeaux de sa défunte grand-mère. Elle aurait bien voulue l'apporter elle même mais, elle était incapable de le faire bouger. Le détaille qui lui plaisait le plus sur ce cadeaux et qui allai bien avec le thème de la soirée était le petit message au centre de la statuette '' que la chance soi avec toi !


Elle avait pensé à utiliser cet héritage comme ramasse feuillet pour le concours. Comme la boite, qui étais au dessus de l’ange de plate, avait une ouverture au milieu et que celle-ci ce fermait avec l’aide d’un cadenas, les participant pourrons tout simplement déposer leur inscriptions dans la fente.

Pour que les intéresser comprenne bien le déroulement du concours elle fabriqua une pancarte en bois qu’elle peintura de rouge pour que tous la remarque. Ensuite elle y inscrit les renseignements et les règlements.
Elle le cloua sur le rebord de la table tout prés de la statuette.

Inscription au concours du bal des poètes.

RÈGLEMENT:

1: Pour participer à ce concours vous devez possédé un talent artistique quelque conque,
que ce soi de lire vos poèmes, de jouer de la musique, de chanter ou bien même jouer une pièce de votre crue.

2: Vous devez remplir une fiche qui portera vôtre noms, vôtre age et vous devez nommez votre talent artistique.

3: Ensuite, au sont de la trompette une des princesse nommera votre nom et elle vous présentera. à ce moment la, vous allez devoir vous rendre aux milieu de toute les convive juste a côté du grand piano et tenter de remporter le prix, en fessant de votre mieux.

4: à la fin du souper, la famille royale remettra le grand prix au grand gagnat de cette année , ainsi que 2 prix de pour la participation, qui sera piger au hasard.

LES PRIX:

1: Le grand prix sera une maison dans le cartier des noble, une semaine a vivre aux chateaux et une année de grand couturier.

2: les deux prix de consolation sera une nuiter aux chateaux et un cheval pure sang.

BONNE CHANCE À TOUS DE LA PAR DE LA FAMILLE ROYAlE



Christalline, regarda sa sœur et lui dit gentiment qu'elle allait annoncer a toute les villageois que Sir Simon étais morts, car se soir il devait a l’attente de tous, jouer l'un de ces grand succès aux piano pour ouvrir le souper. Comme tous avait pue remarquer remarqué, ce n’était pas lui mais, un jeune garçon de 13 ans qui étais un de ses meilleur élèves. Assis sur le banc, qui accompagnais le magnifique piano. Il jouait terriblement bien, la mélodie que sont chère amant avait composé pour elle.
Elle assécha la larme qui commençait à rouler sur ces joues et elle ces leva de son trône, pour prendre parole.


- Chère fidèle citoyen zénaïdien(ne) je vous remercie de faire apte de présence a ce bal. Je dois vous annoncer malheureusement la mort tragique de Sir Simon Degrandtour, c’est pour cette raison qu’il ne joue pas ce soir, Je dois ajouter que ses le clan ennemis LES REBELLES, qui a causer sa disparition !
Elle prit une pose et ferma ses yeux sur sa joue une larme coula jusqu’a sont menton et en recouvrant ces paupière elle continua son discourt.

- Je vous demanderais, en souvenir de ce grand pianiste une minute de silence.

La minute s'écoula

- Merci, s'sincèrement a tous, maintenant je vous invite à prendre place. Les serveurs vont vous apporter les entrées, vous aurez le choix entre une crème de légume avec petit pain ou un feuilleter de crevette sauce béchamel. Bonne appétit.

Elle s'assit sur son siège et pris une bonne gorgé de champagne. Le bulle coula dans sa gorge comme du miel. Elle en reprit une autre bonne gorger et en fini même son vert. Le serveur lui demanda ce qu’elle avait choisi comme entrée et elle prit le feuilleter qui laissait dégager une délicieuses odeur qui la fit saliver. Cependant, quand elle prie sa première bouche et elle nue plus d'appétit. Repoussant son assiette celle-ci demanda à un des serveurs qui passait par la de lui apporter un vers de vin rouge ce qui fit immédiatement. Elle le remercia et elle observa toutes les convives, qui dégustaient leurs assiettes avec appétit.

‘’ Quel gourde j’aurai du voir que tout le monde se servait mais, de toute façon comme je peu voir ce n’est que des boissons don je n’est pas le droit dans mon état ‘’

- Je vous remercie, je n’avais pas remarqué que tout le monde se servais mais, dans l’évidence ce n’est que des boissons alcooliser et dans mon états je ne peu en prendre.

Elle regarda sont mari et ensemble ils prirent la décision de prendre place a la grande table placer en cercle.

Ceux-ci prirent place sur l'une des chaises qui donnaient sur le bort de la porte d'entrée.

L’une des princesse annonça le début du souper, elle était un peu plus heureuse, surtout a avec le chois d’entré qui se proposait.
`
Quelque minute plus tard les assiettes commençaient à ce donné mais, la hâte de pourvoir calmer sa faim s’effaça au moment ou des crampes lui prit au ventre.

'' Je sens que je vais avoir un de ces gaz, ***** comment je vais faire pour pouvoir me soulager sans que tous sente l’odeur nocer abonde qui veut en sortir. ‘’

Trot tard, elle serra les fesses mais, sans crier garde une flatulence en sortie, le bruit fut assez Ford pour que le pianiste arrête de jouer. L'odeur était si atroce que sont chère mari eu des hauts les cœurs.

'' Mon dieux je veux rentrée dans le plancher, sa pas de bon sans, voyons donc que je ne suis pas Capable de me retenir’’‘

Les joue rouge, elle ce cacha le visage entre ces main et dans l'émotion elle ce mit à pleurer.

'' Bon, il faut en plus que mais émotion de femme enceinte ce mette de la parti. ‘’

Sont mari, rias au éclat, ainsi que quelque personne qui étais assis a ses côté. Elle retira ses main de sont visage et regarda le serveur qui venait d'arriver a ses côté et gentiment, il lui demanda ce qu'elle préférait, soi une crème de légume ou bien un feuilleter de crevette.


-Pour ma par je crois bien que je vais prendre la crème de légume, merci infiniment.

Sont mari pris la même chose qu'elle et le serveur déposa leur entrée devant eux.

'' Quel délice ce potage, ces vraiment esquie.''

L’odeur fis saliver sont palet, le gout glissait dans sa gorge comme si s’étais du velours.

'' Je n'est jamais gouter rien d'aussi bon''

Elle repensa a ce que la jeune princesse avait dit en annoncent le commencement du souper.

''Pauvre homme, il était si jeune, je ne connais pas très bien sa musique mais au dire il était très talentueux. Je crois aussi avoir entendu ,qu’il avait une relation avec l’une des princesse. elle doit être vraiment anéanti. ‘’

Elle laissa ses réflexions et continua de savourer ce délicieux repas.

Christaline ce leva et demanda encore une fois le silence. Elle expliqua a tous que le grand concours commencera juste avant que le désert soi servie.

- Bonsoir a tous et toute, j’espère que vous passer une bonne et belle soirée? Je veux vous inciter, a remplir le formulaire qui est sur la table des cocktails et quand le repas principal sera terminer, nous pigerons les participants au hasard, un par un, pour que vous venez, nous montré votre talent. Sur ça je vous souhaite bonne chance et que le ou la meilleur gagne.

Elle ce rassie et demanda a son fidèle garde Anaméus, capitaine des gardes royales, de ce positionner a côté de la statuette pour accueillir les participants.

Après tout ces explicitons, Christalinne ce retourna ver sa tendre mère qui avant le souper, lui avais demandé comment elle allait.

- Je suis désoler de ne pas t'avoir répondu plus tôt mais, il a tellement à faire ce soir. Pour tout dire je ne vais pas très bien, Comme vous avez pue entendre mère, Simon est,...mort. Je reste forte pour donner une soirée agréable a nos inviter mais, mon seul désire et de me retirer pour aller m'étendre dans mon lit et de laisser sortir ma peine. En t'en que princesse je ne peu pas manquer a l'appelle, alors bien sure je reste et j'anime du mieux la soirée. Vous s'avez il me manque t'en, je voudrais tellement me blottir dans ses grand bras muscler et revoir son regard ensorcelant qui me fessait chavirer a chaque fois.
Sa façon si drôle de parler des choses de la vie, et surtout les nombreuse fois qu'il était juste la et que l'on ce regardait dans les yeux en s'échangeant des tendre baiser. Le pire pour moi à imaginer est que plus jamais il m’en donnera. Plus jamais il me dira je t’aime et plus jamais je vais entendre sa voix. Sa vois qui me rassurait t'en ...


À ce mots elle ce remis a pleuré des millions de larmes, incapable de ce contrôler, les inviter remarqua sont chagrin.
Elle prit un mouchoir de soie qui était sur la table et elle ce moucha en se retournant pour que personne ne la vois.
En essuyant ces yeux, celle-ci replaça une mèche qui avait tombé et afficha encore un petit sourire qui ne dura pas très longtemps.